Atlanta Hawks – Analyse & pronos 2023-2024
Découvre ici notre preview sur la saison 2023-2024 des Atlanta Hawks.
Pronostic Vainqueur NBA
🏀La cote des Hawks @60 |
Bon, évidemment les Atlanta Hawks sont loin dans les pronostics NBA des bookmakers. Ils ont clairement de quoi mettre le feu en attaque, mais quand la pression monte et que le niveau de jeu s’élève, il faut savoir défendre le plomb et ce n’est pas la spécialité du côté de la Georgie. Les Hawks peuvent légitimement espérer batailler pour une place en playoffs, mais pas beaucoup plus. On les voit terminer dans les places qualificatives pour le play-in tournament. |
Pronostic Vainqueur conférence Est NBA
🏀La cote des Hawks @30 |
Là aussi, Trae Young et ses amis sont loin derrière les grosses puissances que sont Boston, Milwaukee et Philadelphie. Ensuite, il leur faudrait un sacré concours de circonstances – et pas mal de faux pas des autres – pour espérer rentrer dans les play-offs avec l’avantage du terrain devant des les Cavs, les Knicks ou le Heat. Non, les Hawks joueront plutôt le milieu de tableau à l’Est. Ils ont une offensive certaine et un coach qui sait la mettre en lumière, mais la profondeur, notamment en défense, risque de manquer. Notre prono NBA: Play-in tournament |
Paris à tenter sur la saison des Hawks d’Atlanta
L’an passé, Quin Snyder a su maximiser le potentiel offensif de cette équipe à tel point que les Hawks ont fini meilleure attaque de la NBA. On les voit bien affoler les boxscores cette année encore. On observera donc le total de points de leurs matchs et évidemment les nombre de points inscrits par Trae Young certains soirs. On sait le meneur de poche formé à Oklahoma capable de coups de chauds complètement dingues et on se souvient notamment de son record en carrière de 56 points inscrits contre les Blazers en janvier 2022. D’ailleurs, Portland est la victime préférée de ce scoreur né, puisqu’il tourne à 32 points de moyenne contre la franchise de l’Oregon.
On surveillera également le total de points + passes de Trae Young qui devrait être une bonne base cette saison pour nos pronostics NBA . Il a terminé sur le podium des meilleurs passeurs de la Ligue ces 4 dernières saisons !
Effectif Atlanta Hawks 2023-2024
Joueur | Age | Taille | Poste | Provenance | |
---|---|---|---|---|---|
🇺🇸 | Trent Forrest | 25 | 1.94 | M | Florida State |
🇦🇺 | Patrick Mills | 35 | 1.80 | M | Saint Mary’s |
🇺🇸 | Trae Young | 25 | 1.84 | M | Oklahoma |
🇺🇸 | Kobe Bufkin | 20 | 1.94 | M/AR | Michigan |
🇺🇸 | Dejounte Murray | 27 | 1.96 | M/AR | Washington |
🇷🇸 | Bogdan Bogdanović | 31 | 1.97 | AR/AI | Fenerbahçe SK |
🇨🇿 | Vít Krejčí | 23 | 2.03 | AR/AI | Basket Saragosse 2002 |
🇺🇸 | Garrison Mathews | 27 | 1.95 | AR/AI | Lipscomb |
🇺🇸 | Wesley Matthews | 37 | 1.96 | AR/AI | Marquette |
🇺🇸 | A. J. Griffin | 20 | 1.98 | AI | Duke |
🇺🇸 | Seth Lundy | 23 | 1.97 | AI | Penn State |
🇺🇸 | Saddiq Bey | 24 | 2.01 | AI/AF | Villanova |
🇺🇸 | De’Andre Hunter | 26 | 2.01 | AI/AF | Virginia |
🇺🇸 | Jalen Johnson | 22 | 2.06 | AI/AF | Duke |
🇸🇳 | Mouhamed Gueye | 21 | 2.10 | AF/P | Washington State |
🇨🇭 | Clint Capela | 29 | 2.08 | P | Élan sportif chalonnais |
🇦🇴 | Bruno Fernando | 25 | 2.06 | P | Maryland |
🇺🇸 | Onyeka Okongwu | 23 | 2.05 | P | USC |
Le Cinq majeur des Hawks de la saison 2023-2024
Les arrivées : Kobe Bufkin, Wesley Matthews, Mohamed Gueye, Miles Norris (two-way), Seth Lundy (two-way)
Les départs: John Collins, Aaron Holiday, Frank Kaminsky, Vit Krejci, Tyrese Martin, Donovan Williams
Lors de la Draft NBA, les Hawks ont sélectionné le jeune Kobe Bufkin en 15ème position en provenance de Michigan. Il va remplacer Aaron Holiday dans la rotation sur les postes de meneur/arrière. Atlanta s’est également débarrassé d’un John Collins jugé trop peu performant par rapport à son contrat en l’échangeant à Utah à l’intersaison.
On souligne également la re signature de Dejounte Murray qui était arrivé agent libre des San Antonio Spurs à l’été 2022. Le jeune meneur a convaincu malgré son association pas encore parfaite avec Trae Young car le management des Hawks l’a sécurisé pour la coquette somme de 120M de dollars sur 4 ans. Le natif de Seattle touchera 25 millions à partir de la saison 2024-2025.
Pour ce qui est du 5 majeur, on ne devrait pas avoir trop de changement et retrouver Trae Young et Dejounte Murray sur les lignes arrières, De’Andre Hunter et Saddiq Bey aux ailes et Clint Capela au poste de pivot. On pourrait toutefois voir des rotations avec Murray en second unit pour avoir un porteur de balle de haut niveau toujours sur le terrain.
La saison 2022 – 2023 des Hawks
41 victoires pour 41 défaites. L’équilibre parfait. La saison a été marquée par plusieurs points. D’abord, il n’y a pas eu l’alchimie voulue entre les deux stars du Backcourt. Il faut dire que les deux ont besoin d’avoir la gonfle et qu’il n’y a qu’un seul ballon. Les Hawks ont connu un coup dur avec la blessure de l’ailier Bogdan Bodganovic, out sur la première partie de saison. Le Serbe n’a finalement joué que 54 matchs en 22-23.
John Collins, prolongé pour 5 ans contre 125 millions de dollars à l’été 2021, n’a absolument pas donné satisfaction et a même réalisé sa pire saison statistiques depuis sa saison rookie. 13 petits points par match et moins de 30% à 3 points. Pas très rentable.
En février, alors que le bilan est de 29 victoires pour 30 défaites, le coach Nat McMillan est remercié et rapidement remplacé par Quin Snyder. Avec l’arrivée de l’ancien entraineur d’Utah, la fin de saison est plutôt encourageante. Les Hawks deviennent la meilleure attaque de la ligue, du All-Star Break jusqu’à la fin de saison. A l’arrivée, ils sécurisent une 8ème place de l’Est, synonyme de play-in. Ils rencontrent le Heat de Miami qu’ils battent pour prendre la 7ème position en play-offs où ils affronteront Boston.
Sur le papier, il n’y a pas photo : cette série faisait partie des potentiels sweeps. Malgré tout, Trae Young et les siens ont réussi à embêter les C’s mais ont finalement perdu la série 4-2.
Statistiques de la saison des Atlanta Hawks 2022-2023
Points/Match | 116 |
%3 points | 35.4 |
% Lancers Francs | 76.1 |
Meilleur scoreur : Trae Young | 25.1 |
Meilleur rebondeur : | 10 |
Meilleur Passeur : Trae Young | 6.2 |
Classement attaque | 3 |
Classement défense | 19 |
Les joueurs à suivre cette saison :
Trae Young
Le meneur de poche sorti d’Oklahoma en 2018 s’est immédiatement imposé comme un des meilleurs scoreurs de la grande Ligue. Considéré comme le premier « enfant » de Steph Curry, Trae Young affolait déjà les compteurs dès le lycée et fournissait tous les médias basket en highlights avec ses tirs à 3 points envoyés du parking. Beaucoup doutaient à son arrivée en NBA. Est-il assez solide physiquement ? N’est-ce qu’un joueur-spectacle ? Et bien le natif du Texas a répondu rapidement avec des saisons plus que sérieuses au scoring, mais aussi à la passe. Depuis son arrivée à Atlanta, peu de joueurs délivrent plus de caviars que lui, qui tourne à 9.31 passes par match en carrière.
Evidemment, son énorme apport offensif vient compenser son incapacité à impacter de l’autre côté du terrain due à son déficit physique (1m85 seulement). En 2021, Young a tout de même réussi à créer la surprise en emmenant les Hawks jusqu’en finales de Conférence. Cette année, on l’attend comme leader une nouvelle fois, avec surement de gros coups de chaud certains soirs et pourquoi pas la meilleure moyenne de passes de toute la Ligue.
Dejounte Murray
Le guard arrivé des Spurs en 2022 est un fort joueur, mais il a peiné à montrer sa complémentarité sur le terrain avec le Franchise player des Hawks. On attend un Murray en gestionnaire par séquence, notamment quand Young sera laissé au repos, mais surtout comme gros défenseur extérieur. Il a été recruté pour compenser ce vrai manque qu’avaient les Hawks et cette année il doit montrer que sa très juteuse prolongation est méritée. En gros, on se demandera si ce backcourt peut devenir une référence en NBA.
Palmarès Atlanta Hawks
Palmarès :
- Champion NBA : 1 (1958)
- Champion Division Ouest : 7 (1957-61, 1969-70)
- Champion Division Ouest : 7 (1957-61, 1969-70)
- Champion Division Sud-Est : 2 (2015, 2021)
Les Hawks ont un Palmarès NBA peu fourni. Ils ont décroché leur seul titre NBA en 1958. A l’époque, la franchise n’était même pas localisée à Atlanta mais à Saint Louis, dans le Missouri. Ce trophée est l’accomplissement de la plus belle génération de l’histoire de l’équipe, emmenée à l’époque par la légende Bob Pettit. C’est vers cette période faste que les Saint-Louis Hawks remportent 5 fois d’affilée l’ancienne Division Ouest (1957-61), qu’ils domineront également en 1969 et 1970. Avec 7 titres, St-Louis est la deuxième franchise la plus titrée dans cette division Ouest.
Dans la Division Sud-Est actuelle, Atlanta s’est imposé en 2015 ainsi qu’en 2020.
A noter qu’elle est la deuxième franchise, derrière Sacramento, qui a à son actif la plus longue période sans remporter le titre NBA.
Palmarès Individuel
Joueur | Nombre | |
Meilleur marqueur | Dominique Wilkins | 23 292 |
Meilleure moyenne de points | Trae Young | 29.6 |
Meilleur passeur | Doc Rivers | 3 866 |
Meilleur rebondeur | Bob Pettit | 12 849 |
Meilleur contreur | Trae Rollins | 2 758 |
3 points marqués | Mookie Blaylock | 1 050 |
Maillots retirés des Hawks
La franchise des Hawks a peu de maillots élevés au plafond de la State Farm Arena mais il y a quelques un de ceux d’immenses légendes l’histoire de la NBA. C’est notamment le cas du jersey numéro 9 qui appartenait à Bob Pettit, le plus grand Hawk de l’histoire et probablement le meilleur joueur des années 1950 aux côtés de la légende des Lakers George Mikan.
Le meilleur marqueur des Hawks Dominique Wilkins a également eu ce privilège en 2001. En 11 saisons et demies en Georgie, celui qu’on surnomme The Human Highlight Film est devenu le favori des fans des Hawks, notamment avec ses dunks spectaculaires. Il a d’ailleurs sa statue dans la ville d’Atlanta.
- 9 : Bob Pettit : ROTY en 1955, Premier MVP en 1956, titré en 1958 et MVP en 1959
- 21 : Dominique Wilkins : 12 saisons, meilleur marqueur de l’histoire des Hawks, meilleur marqueur de la Ligue en 1986
- 23 : Lou Hudson : 3è meilleur marqueur de la franchise (16 049 pts)
- 44 : Pete Maravich : Légende absolue des années 1970 avec Atlanta et New Orleans, connu pour ses dribbles considérés comme révolutionnaires. Meilleur marqueur de la NBA en 1977
- 55 : Dikembe Mutombo : Meilleur contreur de NBA de 1993 à 1996, meilleur rebondeur en 2000 et 2001, second plus gros total de contre de l’histoire ( 3 289)
- 59 : Kasim Reed : Maire d’Atlanta entre 2010 et 2018
L’Histoire des Hawks
Débuts (1946 – 1951): La Franchise était au départ basée dans l’Illinois et était partagée entre 3 villes situées sur les bords du Mississippi, Moline, Rock Island et Davenport. Elle s’appelle donc les Tri-Cities Blackhawks et évolue en National Basketball League avant de rejoindre la National Basketball Association en 1949.
Déménagements successifs et période faste avec Bob Pettit (1951- 1968) :
À l’entame de la saison 1951-1952, le propriétaire Ben Kerner déménage la franchise à Milwaukee dans le Wisconsin. Les Hawks finissent derniers de leur Division au cours des deux saisons suivantes. En 1954, les Hawks obtiennent un choix de la Draft NBA qui va changer le visage de la franchise à jamais. Ils sélectionnent en deuxième position l’ailier de LSU Bob Pettit, qui finit quatrième meilleur marqueur du championnat dès sa première saison et remporte le Rookie of the year. Milwaukee est cependant toujours dernier de sa Division.
Les mauvais résultats et l’affection des fans pour l’équipe locale de baseball incitent Ben Kerner à déménager une nouvelle fois son équipe de basket. En 1955 les Hawks s’installent donc à Saint Louis (Missouri) . Ce changement opère de façon positive sur le plan sportif puisque Bob Pettit remporte le premier titre de MVP en menant la ligue aux points et aux rebonds à l’issue de la saison.
En 1956, les Hawks sélectionnent Bill Russell grâce à leur territorial pick mais l’échangent immédiatement à Boston contre deux joueurs. Ils laissent ici passer celui qui deviendra le plus grand pivot défensif mais aussi le joueur le plus titré de l’histoire de la NBA. Ironie du sort, c’est avec les Celtics que Saint Louis entretien dans les années qui suivent une âpre rivalité au sommet de la Ligue.
Saint Louis domine l’Ouest à cette époque et va gagner la division 4 fois en 5 ans de 1957 à 1961. Autant de saisons où les Hawks affrontent les grands Celtics en Finales NBA. Ils ne parviennent à les battre qu’en 1958 – bien aidés par l’entorse à la cheville de Bill Russell au match 3 – remportant ainsi l’unique titre de la franchise.
Dans les 1960, les Saint Louis Hawks restent très compétitif et se classent très souvent dans le haut de la division Ouest mais buttent soit contre les Lakers soit contre les San Fransico Warriors de Wilt Chamberlain.
Post Bob Pettit et arrivée à Atlanta
En 1965, la légende Pettit prend sa retraite et la franchise ne retrouvera ensuite pas de sa superbe. L’arrière Lou Hudson arrive dans l’équipe via la draft NBA en 1966 et en devient immédiatement le meilleur marqueur. En 1969 et 1970, Saint Louis échoue en finales de Division contre les Lakers. La franchise change de propriétaire en 1968 et va jouer ses matchs à domicile à Atlanta à partir de 1972. En 1970 « Pistol » Pete Maravich est drafté par les Hawks mais cela n’empêche pas l’équipe de sortir en premier tour des playoffs les deux saisons qui suivent. Les années 1970 ne sont pas les plus glorieuses pour la franchise de Georgie, qui rate plusieurs fois la offseason ou sort au mieux en demi-finales de Conférence.
Les années Dominique Wilkins
C’est en 1982 qu’Atlanta échange le rookie tout juste sélectionné par les Utah Jazz. L’ailier deviendra le joueur le plus apprécié de l’histoire de la franchise. Dans ses premières années, bien que très performant, il ne peut ramener les siens en play-offs, mais c’est autour de lui que la direction va rebâtir une belle équipe. Cela commence avec la sélection du meneur Glenn « Doc » Rivers en 1983, puis celle de l’ailier fort Kevin Willis la saison suivante.
Les Hawks retrouvent les joies de la offseason en 1983 mais ne passent à nouveau le premier tour qu’en 1986. C’est cette année-là que The Human Highlight Film brille le plus. Il devient un All-Star pour la première fois et mène la NBA aux points. Sous son impulsion, Atlanta enregistre plus de 50 victoires en régulière, mais sort au second tour des play-offs face aux immenses Celtics de Larry Bird. L’année suivante les Hawks réalisent la meilleure saison régulière de l’histoire de la franchise en remportant 57 matchs mais sont éliminés au même stade par les Isiah Thomas et ses Pistons.
En 1988, rebelote : grosse régulière puis défaite contre les Celtics en demi-finales de Conférence dans une série où Bird et Wilkins se livrent un duel épique.
L’équipe ne passe plus le premier tour de 1989 à 1993 et a surement laissé passer là sa plus belle chance de se rapprocher du titre avec sa génération dorée. Avec l’arrivée au coaching de Lenny Wilkens, joueur des Hawks dans les années 1960, la franchise va toutefois égaler son meilleure bilan en 1993-94, mais butter encore en demi-finales de l’Est. C’est au court de cette saison que Dominique Wilkins est échangé aux Clippers de Los Angeles.
» Not in my house «
Kevin Willis est lui aussi tradé en 1994. Alors que Doc Rivers avait déjà quitté Atlanta en 1991, les Hawks lâchent là le dernier élément de leur grosse équipe des Eighties.
A partir de 1996, ils retrouvent des couleurs avec l’arrivée du meilleur défenseur de la ligue en 1995 – et l’un des meilleurs contreurs de l’histoire – Dikembe Mutombo. Le pivot congolais va changer le visage de la franchise, notamment grâce à son association avec l’arrière Mookie Blaylock. Les Hawks vont atteindre les demi-finales de l’Est en 1996, 1997 et 1999 mais tombent face au Magic d’O’Neal, les Bulls de Jordan et les Knicks d’Ewing.
Une reconstruction ratée (2000-2007)
Ces années vont être vides de succès pour les Hawks qui ne vont jamais en play-offs sur cette période et enregistrent certains des pires bilans de leur histoire. Les choix de l’organisation ne sont pas les bon, à l’image de la draft 2005 où ils sélectionnent en 2ème position Marvin Williams, devant les meneurs d’élite Chris Paul et Deron Williams. 2005 est aussi l’année de l’arrivée de Joe Johnson, qui devient la nouvelle star de l’équipe. Avec lui – seléctionné au All Star Game pour la seconde fois – le rookie Al Horford ainsi qu’un Josh Smith excellent aux contres, les Hawks regagnent la off-season en 2008.
Avec cette base et l’ajout du meneur rookie Jeff Teague en 2009, Atlanta atteint les demi-finales de l’Est 3 fois d’affilée de 2009 à 2011.
Coach Bud
A la fin de la saison 2012, Joe Johnson est transféré aux Nets de Brooklyn. Dans la foulée, la franchise de Georgie ajoute la gâchette à 3pts Kyle Korver ainsi que l’excellent sixième homme Lou Williams. En 2013, Mike Budenholzer arrive à la tête de l’équipe, Dennis Schröder est pris à la draft et Paul Millsap est engagé. Avec ces hommes et les Horford et teague déjà présents, Atlanta va regagner le haut de la Conférence Est.
En 2015 et 2016, ils perdent coup sur coup face aux Cleveland Cavaliers d’un LeBron James revenu offrir un titre aux siens. La première fois en Finales de Conférence, la seconde en Demie, mais les deux fois sur le score de 4-0.
Depuis 2017, un nouveau cycle
Les historiques qui ont fait les succès récent de la franchise la quittent petit à petit, puis c’est le cas de « Coach Bud » en avril 2018. Lors de la draft suivante, les Hawks choisissent Luka Doncic en 3ème mais l’échangent immédiatement pour Trae Young. Depuis, le jeune meneur de poche est le leader de l’équipe et s’est révélé être un excellent joueur offensif, mais sa capacité à faire passer un cap à Atlanta fait débat. A ses côtés, le pivot suisse Clint Capela arrivé en 2020 et l’ailier De’Andre Hunter drafté en 2019, sont les hommes de base de ce nouveau cycle. Depuis, les Hawks on retrouvé les play-offs et même atteint les Finales de Conférence en 2021 et sont une équipe du ventre mou du classement NBA.