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Orlando Magic – Analyse & pronos 2023/2024

Découvre ici notre preview sur la saison 2023-2024 du Magic d’Orlando. Paolo Banchero et sa clique sont de retour pour une saison 2023-2024 qui sera placée sous le signe de la confirmation ! Emmenée par l’Italien Rookie of the Year en titre et par le récent champion du monde allemand Kaiser Franz Wagner, la cité de Disneyworld veut croire aux play-offs, et pourquoi pas mieux !

Pronostic Vainqueur NBA

🏀La cote du Magic @ 125.0
La franchise reprend forme après plusieurs année compliquées. Celles-ci ont permis au board d’ajouter beaucoup de talent à l’effectif via la Draft NBA ces dernières années. L’équipe est très jeune mais sera une concurrente aux places qualificatives en play-offs, ou à minima au play-in encore faut-il tenir le calendrier NBA. Pour ce qui est du titre NBA évidemment on repassera, mais on en reparle dans quelques années !
➡️ Parie sur le vainqueur NBA

Pronostic Vainqueur conférence Est NBA

🏀La cote d’Orlando @ 60.0
On voit le Magic progresser, clairement. Mais gagner l’Est sera également un défi immense. Une saison est longue et l’effectif est tout de même très jeune, à l’exception de papy Joe Ingles qui est arrivé pour encadrer les gamins. Quel joueur de cet effectif a une réelle expérience en play-offs, ou même dans une franchise qui joue le top de la NBA ? A moins d’un exploit face aux mastodontes Milwaukee, Philadelphie et Boston, le Magic jouera plutôt la qualification en offseason pour valider la progression du projet.
Notre prono NBA: 1er tour des play-offs
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Paris à tenter sur la saison du Magic d’Orlando

Cette saison il faudra suivre les performances de Paolo Banchero. L’Italien de 21 ans est un scoreur au dessus de la moyenne et son total de points ainsi que son total de points + rebonds seront des bonnes bases de paris NBA certains soirs pour la saison à venir. Au cœur d’une division Sud-Est qui n’est pas la plus relevée de la Conférence Est, le Magic pourrait aussi être un candidat sérieux pour emporter la première place s’il venait à performer au dessus des attentes.

Le Cinq majeur d’Orlando de la saison 2023-2024

Les arrivées : Anthony Black, Jett Howard, Joe Ingles, Mac McClung (two way contract)

Les départs: Bol Bol

Pour ce qui est du 5 majeur, pas de doutes pour les forwards Wagner et Banchero qui seront les titulaires. A côté, plusieurs joueurs doivent prétendre à être starters mais sont sujets aux blessures. Jonathan Isaac, potentiel énorme défenseur, n’a joué que 45 matchs ces 4 dernières années et connait mieux l’infirmerie de l’Amway Center que son parquet. Pareil pour Markelle Fultz. Le meneur numéro 1 de la draft 2017 a été très fréquemment blessé en tout début de carrière aux 76ers. On a toutefois bon espoir pour lui qui a joué 60 matchs la saison passée à un peu moins de 30 minutes par rencontre. A côté de cela, Wendell Carter Jr et Gary Harris doivent être des titulaires – respectivement comme pivot et arrière – mais connaissent fréquemment des pépins.


Effectif Orlando Magic 2023-2024

JoueurAgeTaillePosteProvenance
🇺🇸Cole Anthony231.91MNorth Carolina
🇺🇸Markelle Fultz251.93MWashington
🇺🇸Anthony Black 192.01M/ARArkansas
🇺🇸Jalen Suggs221.94M/ARGonzaga
🇺🇸Gary Harris291.93ARMichigan State
🇺🇸Trevelin Queen 261.98ARNew Mexico State
🇺🇸Kevon Harris 261.93AR/AIStephen F. Austin 
🇺🇸Jett Howard 202.00AR/AIMichigan
🇨🇦Caleb Houstan212.05AIMichigan
🇬🇧Admiral Schofield 261.97AITennessee
🇩🇪Franz Wagner222.05AIMichigan
🇦🇺Joe Ingles362.04AI/AFMaccabi Tel-Aviv
🇺🇸Chuma Okeke252.03AI/AFAuburn
🇺🇸Paolo Banchero212.08AFDuke
🇺🇸Jonathan Isaac262.06AFFlorida State
🇩🇪Moritz Wagner262.11AF/PMichigan
🇬🇪Goga Bitadze242.12PKK Budućnost Podgorica
🇺🇸Wendell Carter Jr.242.09PDuke

Pas d’énormes mouvements cet été dans la ville des parcs d’attractions. On note la re signature de Mo Wagner qui va continuer de jouer les gros bras dans la peinture en doublure de Wendell Carter Jr. Joe Ingles a également signé cet été pour deux saisons après son passage à Milwaukee. Le vétéran australien va apporter toute sa malice, mais surtout du tir extérieur, ce qui manquait beaucoup à cette équipe.

Si le Magic est épargné par les blessures, il pourrait avoir une très belle rotation.

La saison 2022 – 2023 du Magic

Le Magic a entamé la saison de manière assez dramatique avec 5 victoires en 20 matchs puis a vécu une belle deuxième partie. Période qui correspond au retour aux affaires de Markelle Fultz, véritable facteur X de cette équipe. Le meneur arrivé de Philadelphie en 2019, revenu de sa fracture de l’orteil, a apporté de la sérénité à la mène et une vraie troisième menace polyvalente à l’arsenal de la franchise. Le 1er choix de Draft Paolo Banchero a bien confirmé être le crack que l’on voyait en lui et à ses côtés Franz Wagner a assuré un beau rôle de lieutenant. Orlando s’est même permis de battre quelques grosses écuries au cours de la saison, grâce à une identité défensive qui perdure dans le temps, demandez aux Celtics, Sixers et Warriors ce qu’ils en pensent.

En bref, l’équipe a progressé et ajouté et responsabilisé une future star en Paolo Banchero. Même si cela n’a pas encore suffi à accrocher un spot au Play-In, le projet prend clairement forme et c’est l’un des plus excitants de la NBA. Ils vont assurément monter au Classement NBA.

Statistiques de la saison du Orlando Magic 2022-2023

Points/Match111.4
%3 points34.6
% Lancers Francs78.4
Meilleur scoreur : Paolo Banchero20.0
Meilleur rebondeur : Wendell Carter Jr8.7
Meilleur Passeur : Markelle Fultz5.7
Classement attaque26
Classement défense18

Les joueurs à suivre cette saison :

Franz Wagner

L’ailier arrivé de Michigan via le 8ème choix de la draft 2021 est un talent brut à suivre assurément dans les années à venir. 15.2 points de moyenne pour sa première saison, 18.6 l’an passé aux côtés de Paolo Banchero, Kaiser Franz ne cesse de progresser et pourrait carrément être dans les discussions du Most Improved Player cette saison. En bon joueur allemand, il est intelligent et fiable physiquement (79 puis 80 matchs de régulière) et peut compter sur le soutien de frère – et garde du corps sur les parquets – Moritz, qui assure lui le « sale boulot » dans les raquettes. Surtout, Franz Wagner sort d’un titre de champion du monde avec la Mannschaft qui lui a assurément donné un boost de confiance.

Paolo Banchero

Autre immense talent européen, le natif de Seattle est le leader de ce nouveau projet du Magic. 29ème rookie à plus de 20 points de moyenne en NBA, Paolo Banchero était déjà très médiatisé lors de son passage chez les Tar Heels de Caroline du Nord en université et a confirmé de suite en passant dans la grande Ligue. D’ailleurs, ses 27 points, 9 rebonds et 5 passes décisives pour son premier match NBA font de lui le premier rookie à inscrire au moins 25 points, 5 rebonds et 5 passes pour ses débuts depuis LeBron James en 2003. Logiquement nommé meilleur débutant cet été, l’ailier fort sera attendu cette saison pour confirmer tous les espoirs placés en lui.

Palmarès du Magic d’Orlando

Le Magic est encore une très jeune franchise et a donc un palmarès NBA très réduit. Aucun titre NBA, mais deux apparitions en Finales synonymes de titres de champions de la Conférence Est en 1995 et 2009. Ils ont également dominé la division Sud-Est avec Dwight Howard en 2008,2009 et 2010 puis avec Nikola Vučević et Evan Fournier entre autres en 2019.

Palmarès Individuel

JoueurNombre
Meilleur marqueur Dwight Howard11 435
Meilleure moyenne de points Tracy McGrady 28.1
Meilleur passeur Jamer Nelson3 501
Meilleur rebondeur Dwight Howard 8 072
Meilleur contreur Dwight Howard1 344
3 points marqués Dennis Scott981

Maillot retiré du Magic

  • 6 : en hommage aux fans, pour le « sixième homme » du Magic

L’Histoire du Magic d’Orlando

Arrivée en NBA et débuts timides (1889-1993) :

La franchise, ainsi que les Minnesota Timberwolves, ont rejoint la NBA en tant qu’équipe d’expansion lors de la saison 1989-90. Ils ont donc le droit de piocher parmi les joueurs non protégés par les autres franchises pour constituer leur effectif. C’est ce que l’on appelle la Draft expansion. Ils prennent entres autres le meneur Scott Skiles. Lors de la Draft NBA, ils sélectionnent l’arrière Nick Anderson en 11ème position. L’année suivante ils prennent l’ailier de Georgia Tech Dennis Scott avec le 4ème choix et l’équipe progresse avec notamment un Scott Skiles élu Most Improved Player (meilleure progression).

Les premières saisons du Magic ne sont pas remplies de succès. La franchise n’atteint jamais les play-offs et connait même une saison cauchemardesque en 1991-92, mais celle-ci va changer le destin d’Orlando à jamais. L’équipe est plombée par les blessures cette année-là : Skiles ne joue que 18 rencontres et Anderson en manque 22 au cours de l’exercice. Ils finissent avec un bilan de 21 victoires seulement pour 61 défaites, mais ont la chance d’obtenir le premier choix de la Draft 1992. Le Magic sélectionne Shaquille O’Neal en provenance de LSU, sans savoir que cette anomalie physique de 2,16 mètres pour 136 kg à 20 ans deviendra l’une des plus grandes légendes de l’histoire du jeu.

« Shaq » (1992-1996)

L’impact d’O’Neal est immédiat. Sportivement et médiatiquement, le Shaq est un joueur spécial, une superstar née. Il domine de suite la Ligue physiquement et le Magic réalise sa meilleure saison en terminant à l’équilibre (41V/41D). Le pivot est tellement impactant qu’il est le premier rookie sélectionné au All-Star Game depuis Michael Jordan. Il est logiquement élu Rookie Of The Year (meilleur débutant) avec 23.4 points, 13.9 rebonds et 3.5 contres par matchs. Toutefois, le Magic ne va toujours pas en Play-offs. Ils sont donc dans la lotterie de la Draft et avec 1 chance sur 66, ils obtiennent le premier choix. L’ailier fort Chris Webber est disponible, mais Orlando a besoin d’un arrière. Ils sélectionnent le premier pour l’échanger immédiatement, à Golden State qui le convoite, contre le 3ème pick Anfernee Hardaway et 3 futurs choix.

Le grand Magic de Shaq & Penny

Les saisons qui suivent sont glorieuses. Ces deux scoreurs d’élite vont devenir un duo ultra spectaculaire et l’un des plus grands que la Ligue ait connu. En 1993 -94, O’Neal envoie plus de 29 points par matchs, plus de 13 rebonds et près de 3 contres et emmène son équipe à un bilan de 50 victoires. 4ème de l’Est, le Magic se qualifie en play-offs pour la première fois de son histoire, mais se fait balayer 4-0 au premier tour par des Pacers plus expérimentés. A l’été 1994, l’arrivée de l’ailier fort Horace Grant en provenance des Chicago Bulls – champions de 1991 à 1993 – va aider l’équipe à atteindre la première place de leur Conférence avec 57 victoires.

Cette fois, pas de quartier, le Magic bat les Celtic, les Bulls puis prend sa revanche sur les Pacers en Finales de l’Est pour atteindre les Finales NBA au bout de seulement 6 années d’existence. Shaq et les siens sont toutefois sèchement corrigés 4-0 par les Rockets d’Hakeem Olajuwon qui réalisent le back-to-back.

En 1995-1996, Orlando signe le meilleur bilan de la franchise en régulière (60V/22D). Mais en Finales de Conférence se dressent face à au Floridiens des Bulls record qui sortent de la meilleure saison régulière de l’histoire de la NBA (72V/10D, aujourd’hui battu par Golden State). Avec un Michael Jordan sorti de sa retraite, Chicago écrase le Magic en 4 matchs.

L’été suivant, les Los Angeles Lakers s’offrent Shaquille O’Neal pour le plus gros contrat de l’histoire à l’époque.

L’après Shaq / La tentative McGrady-Hill (1996-2004)

Une fois sa star partie, l’horizon n’est plus aussi bleu à Orlando. Penny Hardaway, orphelin de son acolyte, se blesse gravement à la cheville en 1998. L’organisation perd donc confiance en son niveau de jeu et le transfère à Phoenix. Cela tourne l’ultime page de l’un des plus beaux chapitres de l’histoire de la franchise. D’ailleurs, Anfernee Hardaway sera transféré dans d’autres franchises mais ne retrouvera jamais son niveau. Le Magic va enchaîner plusieurs saisons en allant au mieux jusqu’au premier tour en offseason.

En 2000, le Magic a beaucoup de marge de manœuvre financière et tente donc de remonter un duo dominant. Ils signent la jeune star Tracy McGrady, agent libre en provenance de Toronto d’où il souhaitait partir pour ne pas être dans l’ombre de Vince Carter. Ils ajoutent également le co-rookie de l’année 1994 et quintuple All-Star Grant Hill, qui lui signe un très gros contrat dans un sign and trade depuis les Pistons de Detroit. T-Mac va exploser dans les saisons qui suivent, tandis que Hill, considéré comme un successeur de Michael Jordan, va voir sa carrière tuée par les blessures à répétition, à l’image de sa première année à Orlando où il joue seulement 4 matchs. De 2000 à 2003, il dispute en moyenne un peu moins de 16 rencontres. A côté de cela, McGrady ne peut porter l’équipe au delà du premier tour des playoffs malgré son titre de MIP (meilleure progression) en 2001 et de meilleur scoreur de la Ligue en 2003.

A l’été 2004, le Orlando Magic obtient le premier choix de la draft pour la 3ème fois de son histoire et sélectionnent le pivot issu directement du lycée de la Southwest Atlanta Christian Academy. Dans la même intersaison, Tracy McGrady est échangé à Houston. Nouveau renouvellement du projet.

Retour au top avec Dwight Howard

Le jeune Dwight, 19 ans seulement au moment de son arrivée en NBA et 3ème joueur de l’histoire à être drafté 1er directement au sortir du lycée, va s’avérer être un des basketteurs les plus dominants de la décennie 2000. Il affole rapidement les catégories statistiques, notamment en inscrivant un double-double de moyenne dès sa première saison (12 points, 10 rebonds). D’ailleurs, Howard a claqué un double-double aux rebonds durant les 14 premières années de sa carrière NBA ! Dans son sillage, pas de play-offs sur les 2 premières saisons, faute de soutien.

C’est avec le recrutement de l’ailier Rashard Lewis à l’été 2007, qui arrive comme free agent de Seattle, que l’équipe progresse réellement. En 2007-2008, Dwight Howard est meilleur rebondeur de NBA (14.6/match) et inscrit plus de 20 points par match et le Magic va en play-offs mais est sorti par les Pistons en demies de Conférence Est 4-1.

En 2008-2009, le Magic réalise une saison énorme et frôle le meilleur bilan de son histoire d’une petite victoire manquante. Avec 59 succès et 23 revers, ils sont deuxièmes à l’Est. Par la même occasion, The Daily Double (surnom de Howard en référence à ses double-doubles) envoie encore près de 21 points par match, il mène encore la Ligue aux rebonds (13.8/matchs) mais cette-fois ci également aux contres (2.92/ matchs) ! Il est logiquement élu meilleur défenseur de NBA.

En Offseason, après s’être défait des 76ers de Philadelphie au 1er tour, le Magic s’offre les Celtics de Kevin Garnett, Ray Allen et Paul Pierce en demi-finales de Conférence en 7 matchs. Lors de la finale de conférence Est, Orlando est opposé à la meilleure équipe de la NBA en saison régulière : les Cavaliers de Cleveland. Beaucoup pensent qu’Orlando va passer à la trappe, car les Cavaliers, menés par le MVP en titre LeBron James, ont passé les deux premiers tours sur le score de 4 à 0. Cependant dès le match 1, Orlando reprend l’avantage du terrain en allant gagner à Cleveland, James parvient à gagner le deuxième match avec un tir à trois points au buzzer, mais il n’arrive pas à porter son équipe et le Magic qui possède plus de talents l’emporte en 6 matchs. Le Magic se retrouve alors en finale NBA pour la deuxième fois de son histoire. En Finales NBA, Orlando ne fait pas le poids face aux Lakers de Kobe Bryant et Pau Gasol. Ils perdent 4-1.

L’année suivante est encore une fois excellente en Floride. Howard est encore le meilleur de la Ligue aux rebonds, aux contres et en défense. Avec notamment l’ajout de l’expérimenté Vince Carter, le Magic réalise le même bilan que la saison passée et se classe 2ème de toute la Ligue. Il sweep (4-0) les Bobcats puis les Hawks lors des 2 premiers tours de play-offs mais s’incline contre Boston 4-2 en finals de l’Est.

En 2010-2011, Dwight Howard réalise sa meilleure saison au scoring (22.6 points par match en régulière) et est élu Defensive player of the Year pour la 3ème année consécutive. Au premier tour des playoffs, Superman envoie même 27 points et 15.5 rebonds de moyenne dans la série face aux Hawks. Mais Orlando est défait par Atlanta 4-2. La saison suivante, la dernière de la star à Orlando, sera moins bonne. L’entente dans le vestiaire est plombée par la volonté assumée d’Howard de quitter la Floride.

Il obtient finalement son transfert à l’été 2012 et rejoint les Los Angeles Lakers dans un trade à 4 équipes.

Reconstruction difficile puis nouveau départ

Avec le départ de sa star, le Magic rentre dans le rang et coule même dans les profondeurs. La franchise enchaine les saison autour de 50 voire 60 défaites et va chercher de bons jeunes à la draft comme Victor Oladipo (2è choix 2013) ou Aaron Gordon (4è choix 2014) mais elle ne se redresse pas pour autant. L’équipe tourne pendant quelques années autour de ses deux européens : l’arrière français Evan Fournier (arrivé des Nuggets en 2012) et le pivot monténégrin Nikola Vučević (arrivé des 76ers en 2012). Ce dernier deviendra d’ailleurs un All-Star et un des tous meilleurs intérieurs de NBA, mais l’équipe ne se qualifie plus en play-offs jusqu’en 2019.

Il y a finalement un gros renouvellement de l’effectif au cours de l’année 2021. Vučević est envoyé à Chicago, Gordon à Denver et Fournier à Boston lors de la trade deadline.

Depuis, le Magic se reconstruit autour d’un groupe de jeunes très talentueux comme Wendell Carte Jr, pivot arrivé dans l’échange avec Vučević en 2021. Surtout, la Franchise en bleu à excellemment bien drafté avec le meneur Cole Anthony (15è choix en 2020), Jalen Suggs et Franz Wagner ( 5è choix et 8è en 2021) et surtout un quatrième premier choix de Draft en la personne de l’Italo-américain Paolo Banchero, rookie de la saison en 2022-2023.

Avec le départ de sa star, le Magic rentre dans le rang et coule même dans les profondeurs. La franchise enchaine les saison autour de 50 voire 60 défaites et va chercher de bons jeunes à la draft comme Victor Oladipo (2è choix 2013) ou Aaron Gordon (4è choix 2014) mais elle ne se redresse pas pour autant. L’équipe tourne pendant quelques années autour de ses deux européens : l’arrière français Evan Fournier (arrivé des Nuggets en 2012) et le pivot monténégrin Nikola Vučević (arrivé des 76ers en 2012). Ce dernier deviendra d’ailleurs un All-Star et un des tous meilleurs intérieurs de NBA, mais l’équipe ne se qualifie plus en play-offs jusqu’en 2019.

Il y a finalement un gros renouvellement de l’effectif au cours de l’année 2021. Vučević est envoyé à Chicago, Gordon à Denver et Fournier à Boston lors de la trade deadline.

Depuis, le Magic se reconstruit autour d’un groupe de jeunes très talentueux comme Wendell Carte Jr, pivot arrivé dans l’échange avec Vučević en 2021. Surtout, la Franchise en bleu à excellement bien drafté avec le meneur Cole Anthony (15è choix en 2020), Jalen Suggs et Franz Wagner ( 5è choix et 8è en 2021) et surtout un quatrième premier choix de Draft en la personne de l’Italo-américain Paolo Banchero, rookie de la saison en 2022-2023.

Franchises NBA – analyse & pronostics 2023-2024
Atlanta Hawks
Boston Celtics
Brooklyn Nets
Charlotte Hornets
Chicago Bulls
Cleveland Cavaliers
Dallas Mavericks
Denver Nuggets
Detroit Pistons
Golden State Warriors
Houston Rockets
Indiana Pacers
Los Angeles Clippers
Los Angeles Lakers
Memphis Grizzlies
Miami Heat
Milwaukee Bucks
Minnesota Timberwolves
New Orleans Pelicans
New York Knicks
Oklahoma City Thunder
Orlando Magic
Philadephia 76ers
Phoenix Suns
Portland Trail Blazers
Sacramento Kings
San Antonio Spurs
Toronto Raptors
Utah Jazz
Washington Wizards

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